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En bois clair rehaussé d’une marqueterie de nacre d’os et de bois noirci, présentant trois arcades islamiques et quatre colonnes en façade et une frise de moucharabié en façade, le fond présentant une rosace nacrée. Travail vers 1920, usures.
Dimensions : 108 x 126 x 41 cm
Estampe sur papier, inscriptions dans le bas. Travail français, fin 19ème siècle. Petites taches de rousseur.
Dimensions : 19 x 13 cm
OFFRE LIBRE
Figurant un homme oriental enturbanné en porcelaine peinte polychromie. Bon état.
Dimensions : 12 x 10 cm
En bois exotique au décor richement incrusté de nacre et ouvrant par un tiroir en ceinture. Dans le même style, on y joint deux échasses pour jeunes femmes orientales.
Dimensions chevet : 38 x 31 x 31 cm
De forme balustre, en cuivre au décor gravé.
Dimensions : h: 26 cm
De forme circulaire, en cuivre émaillé au décor d’Isfahan, la bordure polylobée.
Dimensions : d. 16 cm
Huile sur toile signée en bas à droite. Petit manque en haut à gauche .
Dimensions : 18,5 x 31 cm
Peintre orientaliste français né à Paris, Théodore Frère est l’élève de Jules Coignet et Camille Roqueplan. Il déambule à travers la France en Alsace, en Auvergne et en Normandie mais ce sont ses voyages en Afrique et au Moyen-Orient qui l’amène vers la peinture orientaliste. Durant un séjour de trois ans à Alger, il réalise des toiles pour le Roi de Wurtemberg et vers 1851, il visite Malte, la Grèce, l’Empire Ottoman et le Caire où, nommé peintre de la Cour, il installe un atelier. C’est l’un des rares peintres à représenter Beyrouth, Damas et Palmyre et en 1869, il fera partie de la suite de l’Impératrice Eugénie qui voyage en Orient à l’occasion de l’ouverture du Canal de Suez en compagnie d’Eugène Fromentin et Jean-Léon Gérôme.
En émaux cloisonnés. Sans fond, manque à l’émail.
Dimensions : h. 32,5 cm
De forme amphore en émaux cloisonnés, le col et la base dorés.
Dimensions : h. 32 cm
Gravure sur papier, taches.
Dimensions : 45 x 53 cm
Peintre flamand de composition religieuses, mythologiques et historiques, né à Anvers il est également l’auteur de portraits, de scènes de genre et de paysages. Elève de son père Pieter De Vos mais surtout de Frans Floris, il part pour Rome en 1551 et y étudie les grands artistes de la Renaissance italienne. Mais c’est à Venise qu’il rencontre son maître, ami et collaborateur, Tintoretto et s’affirme comme un artiste de premier ordre. Marten De Vos reçoit alors de nombreuses commandes et peint notamment des tableaux pour les Médicis. Sa célébrité le devance même à Anvers quand il rentre en 1558 et il y peint les célèbres « Noces de Cana » toujours conservées dans la Cathédrale d’Anvers. Malheureusement une grande partie de son œuvre sera détruite par les iconoclastes mais les nombreuses gravures d’après ses tableaux confirment combien son influence était considérable. Celle-ci sera en partie effacée par l’Ecole de Rubens, mais Martin De Vos contribua au rayonnement de l’Art Flamand.
Principaux musées : Le Louvre Paris, Rijksmuseum Amsterdam, Pitti Florence, Prado Madrid, Musées Royaux des Beaux Arts et Cathédrale d’Anvers, Musées de Berlin, Bruxelles, Budapest, Dijon, Douai, Fontainebleau, Hanovre, Lille, Lyon, Mayence, Nantes, Rouen, Séville, Valenciennes, Vienne.
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